Sentier Ernest-Laforce

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23 août 2019

Le sentier Ernest-Laforce au parc national de la Gaspésie
Région touristique de la Gaspésie (Québec, Canada)


Ernest Laforce : Difficulté

* À noter que ces informations sont fournies par ma montre GPS et peuvent ne pas être à jour ou exactes. Référez-vous au site web officiel pour les informations à jour.



Départ

Lors de notre voyage de deux semaines en Nouvelle-Écosse, nous avions décidé de revenir par le littoral acadien du Nouveau-Brunswick. Par ce fait même, nous sommes passés par la Gaspésie. Sur un coup de tête, nous sommes arrêtées au Parc national, sans savoir qu’on allait y faire une rencontre incroyable.



Le sentier

Pour rejoindre le stationnement du mont Ernest-Laforce, on doit quitter en voiture le Centre de Découverte et rouler plusieurs kilomètres sur un chemin de terre. Les indications sont simples à suivre. Sur place, beaucoup de gens étaient présents malgré le temps gris, car cette randonnée est très populaire auprès de tous. La piste est assez facile, tout en grimpant tranquillement à travers la forêt. Les points de vue apparaissent très vite, tout comme le Mont Albert au loin. Le décor semble changer complètement chaque fois qu’on traverse quelques mètres et qu’on lève la tête. C’est de toute beauté ! 



Surprise !

Nous avons finalement rejoint le belvédère qui marque le sommet et après avoir admiré la vue pendant plusieurs minutes, nous avons continué notre parcours pour compléter la boucle. Sur le chemin du retour, nous avons aperçu un attroupement de gens un peu plus bas. À quelques mètres du sentier se trouvait un orignal bien étendu dans l’herbe. Wow ! Nous qui pensions qu’il était trop tard dans la journée pour en voir. Nous l’avons observé silencieusement pendant plusieurs minutes, en gardant nos distances, jusqu’à tant qu’il se lève et qu’il se promène. Satisfaits de notre randonnée, nous sommes revenus au stationnement, encore surpris de cette belle rencontre. 


D’autres sentiers du parc de la Gaspésie sont propices à l’observation de la faune. En 2016, lorsque j’avais grimpé le mont Albert, je n’en avais pas aperçu, mais plusieurs sont plus chanceux. Informez-vous bien des dangers et de l’attitude à prendre face à un animal sauvage avant de partir.