2 janvier 2019
Sentier du Pékan au Parc national du Mont-Orford
Région touristique des Cantons-de-l’Est (Québec, Canada)
- Région : Cantons-de-l’Est, Québec
- Début du sentier : GPS
- Sentier : Pékan jusqu’au refuge le Castor
- Longueur : 10,95 km aller-retour
- Temps : 4 heures
- Altitude : 347 m
- Dénivelé : 325 m
- Chiens : Non autorisés
- Frais : Tarif journalier SÉPAQ en vigueur
Sentier du Pékan : Difficulté |
* À noter que ces informations sont fournies par ma montre GPS et peuvent ne pas être à jour ou exactes. Référez-vous au site web officiel pour les informations à jour.
Départ
Ce sentier débute juste à l’arrière du Centre des Découvertes du Lac-Stukely. Une fois le pont traversé, un panneau présente clairement les différentes options d’excursions. La marche commence doucement sur un chemin plat, en pleine forêt. À la première intersection, nous aurions dû continuer, mais le passage était fermé dû à la glace trop présente. Nous avons donc fait un détour, mais nous avons récupéré le sentier au prochain attrait qui se trouvait près du refuge le Vieux-Camp. Semé de petites montées et descentes, le reste du trajet n’est pas très difficile en général.
La Colline de la Serpentine et le retour
La fin du sentier nous mène au Refuge du Castor, une énorme cabane pouvant abriter plus de 20 personnes durant la nuit. À notre arrivée, celui-ci était rempli de gens qui s’étaient rendus par toutes sortes de moyens, soit en ski de fond, en raquette ou même en fatbike. Nous avons mangé un peu pour ensuite revenir sur nos pas. Au retour, nous avons fait le petit détour pour aller admirer la vue à partir de la colline de la Serpentine (altitude 365 m). C’était le seul point de vue du sentier, mais les paysages en forêt en valaient tout autant la peine tellement c’était beau. On peut dire que la magnifique journée ensoleillée y était pour beaucoup.
Il aurait été possible de faire une grande boucle et de revenir par le Lynx. Toutefois, on pouvait voir sur la carte qu’il n’y avait pas vraiment de points de vue et puisqu’on ne s’était pas arrêtées au point de vue à l’aller, on tenait à y retourner.